187 – La monnaie commune

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Rien à ajouter de plus sur cette excellente fiche du 17 février 2010 écrite par Gabriel Galand et extraite du site « Chômage et monnaie » que nous vous suggérons de parcourir en entier

Fiche N° 13 : Une monnaie commune, comment ça marche ?

_______________________________

La situation de la Grèce a montré les limites de la monnaie unique, qui ne peut laisser place à la nécessaire variation des dynamiques monétaires différentes de chaque pays (voir notre éditorial sur le sujet). La présente fiche définit donc un autre système, qui permet ces dynamiques différentes. Il peut s’appliquer entre l’Eurozone et les autres pays de l’Europe, ou entre l’Europe et une autre zone monétaire dans le monde, ou encore dans l’Eurozone, pour remplacer la monnaie unique, cas quelque peu extrême. Tout ceci en attendant une mise en œuvre mondiale, qui serait la meilleure solution pour tous. Ce système s’inspire de celui préconisé par P. Davidson en 1994.

L’objectif et le principe

La monnaie commune doit permettre à chaque pays de mener la politique monétaire de son choix, sans qu’il puisse nuire à ses partenaires. La monnaie commune doit par ailleurs réaliser l’équilibre des balances des paiements, en donnant la charge de l’équilibrage aux pays excédentaires, qui ont seuls les moyens de le faire.

La mécanique

1) Les pays participants instituent une monnaie commune, gérée par la Banque Centrale de la Zone Monétaire ainsi créée (BCZ).

2) Chaque pays participant utilise sur son territoire sa propre monnaie. La banque centrale de chaque pays s’engage à changer sa monnaie nationale contre la Monnaie Commune, qu’elle obtient auprès de la BCZ si elle en manque, et s’arrange pour fournir des devises étrangères à ses résidents en les achetant aux autres pays de la zone contre de la Monnaie Commune.

Il n’y a donc pas dans cette zone de problème de réserves de changes. Tous les déséquilibres en devises entre membres se constatent sur les comptes centraux en Monnaie Commune. Par ailleurs, les monnaies nationales n’étant convertibles qu’en Monnaie Commune, il n’y a pas de marché libre des changes entre les devises des participants. Aucune spéculation n’est donc possible sur ce terrain. De plus les mouvements des devises nationales sont contrôlables par le pays concerné.

3) Si la Monnaie Commune est mondiale, elle n’est détenue que par les banques centrales et non par le public (comme les DTS aujourd’hui). Comme il n’y a pas de marché des changes entre les monnaies nationales, toute spéculation est supprimée.

Si la Zone Monétaire n’est pas mondiale, les échanges entre pays de la zone et les pays extérieurs se font en Monnaie Commune. Il est donc nécessaire de pouvoir échanger cette Monnaie Commune contre des devises extérieures. On a alors deux solutions.

Première solution, la Monnaie Commune est cotée sur les marchés contre les autres devises mondiales. Dans ce cas, la spéculation est possible sur son cours. Deuxième solution, elle n’est pas cotée, il y a contrôle des changes et taux de changes administrés par la BCZ. Il n’y a plus de spéculation.

4) Les taux de conversion initiaux entre la Monnaie Commune et chaque monnaie de la zone sont fixés par accord entre les participants pour refléter au mieux la compétitivité de chaque nation. Les points 7 et 8 traitent de la révision de ces taux.

5) Les contrats entre agents économiques continuent de se régler en monnaies nationales, tel que permis par les lois locales et l’agrément des parties.

6) Une mécanique à seuil oblige un pays excédentaire(1) à dépenser son excédent de 3 manières

– acheter des produits ou investir dans un pays débiteur,

– fournir une aide financière directe à un pays débiteur (don).

Si ces excédents n’ont pas été dépensés ou donnés dans un temps prédéfini, alors la BCZ confisque les dits excédents et les répartit entre les membres déficitaires.

Ce point est fondamental. Il assure qu’aucun pays, en épargnant trop, ne mette les autres en déficit et les force à freiner leur demande, déprimant ainsi la demande globale. De plus, il place la charge de l’ajustement sur le pays excédentaire, qui seul en a les moyens.

7) Les taux de change entre les monnaies nationales et la Monnaie Commune sont fixes, mais on peut instituer un système de révision des taux de change qui reflète les variations d’inflation ou de coûts salariaux, ou tout autre paramètre qui permet de conserver le pouvoir d’achat de la Monnaie Commune dans le pays concerné. De cette manière tous les pays possédant de la Monnaie Commune sont assurés que sa valeur ne se déprécie pas en pouvoir d’achat.

8 ) Si un des pays membres est au plein-emploi, et a un déficit persistant, c’est qu’il vit au dessus de ses moyens. Si c’est un pays pauvre, il peut être justifié de continuer à le subventionner. Mais si c’est un pays riche, c’est un « passager clandestin », et il est mis dans l’obligation de dévaluer sa monnaie par rapport à la Monnaie Commune par palier, ce qui a pour effet de renchérir ses importations, de rendre ses exportations moins chères, et surtout de diminuer son revenu réel jusqu’à ce que sa balance commerciale soit équilibrée. Enfin, si le déficit des paiements persiste malgré une balance commerciale positive, alors c’est que la dette est trop importante et des négociations doivent s’engager pour faire cesser cette situation, soit par rééchelonnement, soit par moratoire partiel ou total.

Dans le système ci-dessus, les participants ont des balances des paiements toujours équilibrées entre eux, on supprime ainsi le mécanisme pervers qui bride l’économie mondiale, dans lequel les excédentaires accumulent des réserves tandis que les déficitaires sont contraints à la récession et freinent la demande globale.

Par ailleurs chaque pays participant garde la liberté de sa politique monétaire sans permettre une spéculation contre sa monnaie. En particulier un pays qui est en sous-emploi peut relancer son économie en creusant son déficit, sans craindre l’assèchement en devises. Insistons sur le fait que les banques centrales nationales sont des banques centrales à part entière, libres de mener la politique monétaire de leur choix, et non des succursales de la BCZ. Elles ont pour mission de minimiser l’inflation et de réaliser le plein emploi. De son côté la BCZ a pour mission d’assurer les transferts et la comptabilité en Monnaie Commune, d’appliquer les règles définies en commun concernant l’équilibrage des balances des paiements et la révision des taux de change internes, et finalement de gérer le change entre la Monnaie Commune et l’extérieur.

Le système repose sur l’idée que les déficits des uns sont les excédents des autres, et redistribue les écarts par rapport à la moyenne. Il est clair que ce mécanisme sera moins douloureux si l’ensemble est en excédent plutôt que s’il est en déficit. Par ailleurs il ne peut se mettre en œuvre que dans une zone assez importante pour que ces échanges extérieurs soient faibles par rapport à ses échanges intérieurs. La zone Euro, ou mieux l’Union Européenne, ont cette taille critique. Une telle zone pourrait ensuite agréger autour d’elle un nombre croissant de pays volontaires.


(1) A moins que la zone monétaire ne soit le monde entier, le niveau à partir duquel un pays est « excédentaire » n’est pas forcément l’égalité entre entrées et sorties. C’est plutôt le niveau correspondant à l’excédent ou au déficit de l’ensemble de la zone.

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Le blog d'André-Jacques Holbecq
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14 commentaires pour 187 – La monnaie commune

  1. BA dit :

    Samedi 11 juin 2011 :

    Une association de banques allemandes a déclaré samedi soutenir la proposition de Berlin d’impliquer les créanciers privés dans le financement d’un deuxième plan d’aide à la Grèce, sans pour autant préciser qu’elle était en faveur de la solution d’échange de titres.

    L’Allemagne plaide pour cette participation des banques privées dans ce deuxième plan de sauvetage d’Athènes, estimé à 120 milliards d’euros, dans lequel les créanciers privés seraient invités à échanger leurs titres de dette contre des obligations à maturité plus longue (« rollover »).

    Cette solution est pourtant critiquée par la Banque centrale européenne (BCE) pour la réaction de panique qu’elle pourrait selon elle provoquer sur les marchés financiers et les agences de notation ont dit qu’elles assimileraient un tel « rollover » à un défaut.

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/reuters_00351635-grece-les-banques-de-plus-en-plus-disposees-a-s-impliquer-175528.php

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  2. BA dit :

    Lundi 13 juin 2011 :

    L’agence de notation Standard & Poor’s a abaissé lundi de trois crans la note de la dette à long terme de la Grèce, de « B » à « CCC », et l’a assortie d’une perspective négative, considérant que le risque de défaut du pays dans les douze mois s’est encore accru, dans un communiqué.

    « La dégradation reflète notre opinion qu’il y a un risque encore plus élevé d’un ou de plusieurs défauts » de paiement, souligne l’agence, alors que le débat fait rage sur la possibilité de restructurer la dette publique de la Grèce.

    Les taux des obligations des trois Etats en faillite battent des records historiques.

    Portugal : taux des obligations à 10 ans : 10,668 %. Record historique battu.

    Irlande : taux des obligations à 10 ans : 11,349 %. Record historique battu.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GIGB10YR:IND

    Grèce : taux des obligations à 10 ans : 16,974 %.

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  3. BA dit :

    Aujourd’hui, trois Etats européens sont insolvables : le Portugal, l’Irlande, la Grèce.

    Nous pouvons observer les taux de leurs obligations à 3 ans, et les taux de leurs obligations à 10 ans : les courbes sont inversées !

    Pour ces trois Etats, les taux des obligations à 3 ans et à 10 ans ont battu leurs records historiques aujourd’hui. Leurs taux n’ont jamais été aussi élevés.

    Portugal : taux des obligations à 3 ans : 12,926 %. Record historique battu.
    Portugal : taux des obligations à 10 ans : 10,668 %. Record historique battu.

    Irlande : taux des obligations à 3 ans : 13,490 %. Record historique battu.
    Irlande : taux des obligations à 10 ans : 11,349 %. Record historique battu.

    Grèce : taux des obligations à 3 ans : 26,596 %. Record historique battu.
    Grèce : taux des obligations à 10 ans : 16,974 %.

    La zone euro va exploser.

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  4. BA dit :

    Mardi 14 juin 2011 :

    Grèce : déficit budgétaire en hausse de 13 %.

    Le déficit budgétaire de la Grèce a augmenté de 13 % sur la période janvier-mai, par rapport à la période comparable de 2010, dépassant l’objectif intermédiaire fixé par le plan de sauvetage du pays, a annoncé mardi le ministère des Finances.

    http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRLDE75D1V920110614

    Les taux des obligations des trois Etats en faillite battent des records historiques.

    Portugal : taux des obligations à 10 ans : 10,754 %. Record historique battu.

    Irlande : taux des obligations à 10 ans : 11,381 %. Record historique battu.

    Grèce : taux des obligations à 2 ans : 26,421 %. Record historique battu.

    Grèce : taux des obligations à 10 ans : 17,379 %. Record historique battu.

    Les CDS de ces trois Etats en faillite battent des records historiques :

    Irlande : CDS à 5 ans : 739 665 dollars pour un prêt de 10 millions de dollars. Record historique battu.

    Portugal : CDS à 5 ans : 762 916 dollars pour un prêt de 10 millions de dollars. Record historique battu.

    Grèce : CDS à 5 ans : 1 590 179 dollars pour un prêt de 10 millions de dollars. Record historique battu.

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  5. BA dit :

    L’agence de notation Standard and Poor’s a annoncé mercredi avoir abaissé de trois crans la note de quatre banques grecques à « CCC », soit la même note que celle attribuée en début de semaine à la dette à long terme de la Grèce.

    Ces quatre banques, la Banque nationale de Grèce, l’Eurobank EFG, Alpha et Piraeus, sont « exposées à des risques renforcées en raison de la détérioration de la solvabilité de la Grèce », relève l’agence.

    Ces risques sont également liées à la « perception des déposants grecs quant à la possibilité d’une restructuration de la dette grecque », ajoute S&P’s, qui envisage un nouvel abaissement dans les prochains mois au cas où ces banques ne pourraient pas faire face à leurs obligations.

    S&P juge que, dans le cadre d’une restructuration de la dette grecque, le secteur privé (banques, fonds d’investissement, assureurs), mis à contribution, se retrouverait face soit à un « échange de titres » soit à un « allongement des maturités ».

    De telles opérations seraient considérées « de facto comme un défaut » par l’agence de notation, et dans ce cas, elle pourrait attribuer à la Grèce une note encore plus basse, la reléguant dans une situation de défaut partiel.

    http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_societes.phtml?num=31159b9d7819d212c5da7e653d07a414

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  6. BA dit :

    Mercredi 15 juin 2011 :

    Concernant les trois Etats en faillite, les courbes des taux sont inversées !

    Portugal : taux des obligations à 2 ans : 12,435 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GSPT2YR:IND

    Portugal : taux des obligations à 10 ans : 10,680 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GSPT10YR:IND

    Irlande : taux des obligations à 2 ans : 12,095 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GIGB2YR:IND

    Irlande : taux des obligations à 10 ans : 11,550 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GIGB10YR:IND

    Grèce : taux des obligations à 2 ans : 28,022 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB2YR:IND

    Grèce : taux des obligations à 10 ans : 17,726 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB10YR:IND

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  7. BA dit :

    Il y a environ un an, le jeudi 4 mars 2010, la Grèce lançait un emprunt à 10 ans. La Grèce avait dû payer un taux d’intérêt de 6,39 %.

    Ce taux d’intérêt était exorbitant : c’était 3,26 % de plus que ce que l’Allemagne payait (quand l’Allemagne lançait un emprunt à 10 ans, elle ne devait payer que 3,13 % d’intérêt).

    http://www.obliginfos.fr/2010/03/04/lemprunt-grec-a-10-ans-emis-a-63/

    L’Union Européenne et le FMI ont alors décidé d’intervenir pour sauver la Grèce. Deux mois plus tard, début mai 2010, l’Union Européenne et le FMI ont mis sur la table 750 milliards d’euros pour rassurer les investisseurs internationaux. Ils ont décidé de prêter 110 milliards d’euros à la Grèce.

    Ils ont déclaré que, grâce à ces mesures, la Grèce pourrait recommencer à emprunter sur les marchés en 2012.

    Aujourd’hui, nous pouvons faire le bilan : un désastre.

    – Les investisseurs internationaux n’ont pas du tout été rassurés.

    – Le 4 mars 2010, pour un emprunt à 10 ans, la Grèce avait dû payer un taux d’intérêt de 6,39 %. Vendredi 17 juin 2011, le taux des obligations grecques à 10 ans est de … 16,939 % !

    – La Grèce ne pourra pas revenir emprunter sur les marchés en 2012.

    – Comme la Grèce est écrasée sous des montagnes de dettes, l’Union Européenne et le FMI ont donc décidé … de lui prêter 100 milliards d’euros supplémentaires !

    – Les dettes publiques ne peuvent pas monter jusqu’au ciel : il arrive toujours un moment où tout s’effondre. Ce moment, ça s’appelle un défaut de paiement.

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    • A-J Holbecq dit :

      C’est la patate chaude … le dernier qui détient cette dette se brulera, sauf si il paye une assurance pharamineuse … auquel cas, ce sera les assureurs .
      Mais ceux ci pourront-ils payer ?

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  8. Zolko dit :

    Bon système, sauf pour la révision des taux de change:

    « Dans le système ci-dessus, les participants ont des balances des paiements toujours équilibrées entre eux »

    Cette affirmation un peu gratuite doit en fait devenir la référence de la révision des taux de change: les taux sont révisés – automatiquement ou pas – pour, justement, avoir un équilibre des balances commerciales: un pays en excédent, sa monnaie est révaluée, un pays en déficit, sa monnaie est dévaluée.

    On peut considérer la balance commerciale avec la zone monétaire seule ou l’ensemble du monde, faut voir ce qui est le plus adéquat.

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    • A-J Holbecq dit :

      C’est exact que la formulation aurait du plutôt être « « Dans le système ci-dessus, les participants cherchent à avoir des balances des paiements toujours équilibrées entre eux : les parités relatives – politiquement déterminées – sont les « variables d’ajustement » »

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  9. François JERU dit :

    Le chaos complet ?
    « Monnaie Commune Mondiale »
    Serait-ce une notion floue comme un « nuage poussé par le vent » ou vagument concret tout de même ?
    Pourrait-on arriver à lui définir une signification ?

    Q1 : un concept référencé à quelquechose ? à un prix mondial de quelquechose ? ou à des dynamiques de flux ?
    Q2 : un concept lié à des ressources naturelles et/ou énergétiques ? non renouvelables ? rares ou exotiques ? renouvelables ? plutôt le contraire ? largement répandues ? présentes partout ou partout possibles ? . . . ou un autre contraire : variables selon les territoires et biens à échanger transfrontières ?
    Q3 : S’il a prix mondial … serait-ce extrait, réalisé (ou autre participe passé) ? surtout par qui ? dans quel cadre légal inter-peuples (OMC dans l’imunité,…) ? à quelles conditions entrepreneuriales, civiles, éthiques, inter-générationnelles (retraites), syndicales, étatiques, sociales, sanitaires, intégratives, migratoires, culturelles, totalitaires ?
    Q4 : un thème de baccalauréat philo ?
    Q5 : référentiel avec ou sans savoir-faire rare en nombre et/ou avec ou sans parcs de moyens techniques avancées exceptionnels ?
    Q6 : Création monétaire en référence à quelle éthique et théorie socio-économique ? par des représentants mandatés par qui ? pour combien de temps ? avec quels axes directeurs et seuils, gardes-fous ?
    Q7 : Création monétaire Quand et Combien (limites) ? Au profit de qui ? pour des services et biens (haut de gamme, bas de gamme) à destination de qui ?
    Q8 : Des taxes prélevées par qui ? au profit de quelle nomenklatura (l’onusienne étant déjà bien servie — idem pour BRI, FMI, World Bank, BCE, FedNetwork, EchelonNetwork )
    Q9 : Des taxes pour quelles finalités ? spécifiées par quel clergé ?
    Q10 : Pour tenter de restaurer le prestige des Etats vassaux, sans plus aucune autorité réelle (pas même paternelle ou maternelle façon ‘Care’)

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  10. François JERU dit :

    Le chaos complet ?
    « Monnaie Commune Zone Euro »
    les mêmes questions Q1 à Q10

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  11. François JERU dit :

    Le chaos complet ?
    « Monnaie Commune Zone EuroMéditerranée »
    [ Eg, Es, Fr, Gr, It, Pt, Tn ]
    les mêmes questions Q1 à Q10
          plus une
    Q11 : Avec ou sans risque d’inflation ?

    [Pensons à l’l’hyperinflation allemande de 1923; la confiance est une notion aussi vague et incertaine qu’un groupe de 3 petits nuages poussé par le vent; la stabilité monétaire est une toute affaire. Personnellement je ne veux pas que ce soit une affaire de confiance

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  12. A-J Holbecq dit :

    Un bon article de Gabriel Galand sur « Chômage et monnaie » : « Et si l’euro sombrait » http://www.chomage-et-monnaie.org/2011/07/et-si-leuro-sombrait/

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